En allant à la biennale de Brioude, je savais que j'allais d'abord y rencontrer mes peintres favoris, puis ceux dont j'étais curieuse de faire la connaissance car j'appréciais leur peinture et enfin y faire des découvertes. C'est de l'une d'entre elles dont je vais parler.
Je l'avoue, je ne connaissais pas Théo Sauer. En parcourant son exposition, j'ai été frappée par la force et la lumière qui se dégageaient de ses aquarelles, essentiellement des friches industrielles. C'est donc avec beaucoup d'intérêt que j'ai suivi sa démonstration.
Je l'avoue, je ne connaissais pas Théo Sauer. En parcourant son exposition, j'ai été frappée par la force et la lumière qui se dégageaient de ses aquarelles, essentiellement des friches industrielles. C'est donc avec beaucoup d'intérêt que j'ai suivi sa démonstration.
A partir d'une photo, Théo commence par réaliser une petite esquisse au crayon pour affiner sa composition et visualiser les valeurs. Il place ensuite les éléments de sa future aquarelle à l'aide d'un dessin précis et commence à peindre.
Il ne s'interdit rien Théo ! Il utilise la gomme à masquer (peut-être le secret de la lumière très forte de ses sujets ?), peint aussi bien dans le mouillé que dans le sec, se sert astucieusement d'une petite réglette pour réaliser les lignes et accentuer la perspective...Quelques visuels...
Je suis heureuse d'être revenue de Brioude avec ce très beau souvenir : une aquarelle de Théo !